Péloches de juillet...

Cars

Cars 2 (2011) de John Lasseter & Brad Lewis
"Twice the pride, double the fall"
John Lasseter himself  est venu nous servir la soupe avant la séance : chez Pixar, on ne lance des suites que parce qu'on a quelque chose de nouveau à dire ! Belle sortie de route à l'arrivée ! Ça commençait plutôt bien avec une intro Bondienne archi-dynamique, puis le naufrage aussi terrible qu'intégral qui se permet une référence à Tokyo Drift au passage. Au Québec, le film s'appelle Les bagnoles 2, c'est peut-être le seul truc drôle dans cette histoire... 

Hanna

Hanna (2011) de Joe Wright
"Hanna Montagnarde"
Quand Jason Bourne avait 16 ans, il était blond. Il était Elle aussi. Son père, super balaise pour avoir joué Hulk plus jeune, lui a appris à se battre. Heureusement car sa progéniture se retrouve prise en chasse par de méchants skinheads dirigés par Dana Scully en tailleur Armani qui ressemble vachement à Cate Blanchett. À la fin du générique, une voix off annonce "schlaf weiter" : "rendors-toi" en teuton. Euh... 

Harry Potter and the Deathly Hallows: Part 2

Harry Potter and the Deathly Hallows: Part 2 (Harry Potter et les Reliques de la Mort - Partie 2) (2011) de David Yates
"HP baisse le pavillon"
("Critique" décousue - mais moins que le film - à lire ici.) L'affiche porte un sentencieux "It all ends" qui est une excellente nouvelle ! De non vigilantibus non curat praetor dit l'adage ("le prêteur n'a cure des insouciants." a.k.a. "la loi ne protège pas les imbéciles" en français.) Vous êtes prévenus : si vous lâchez 12,50€ pour ça, même Julien Courbet ne pourra rien pour vous... 

Happy Happy

Sykt Lykkelig (Happy Happy) (2010) de Anne Sewitsky
"Sea, sex and snow..."
Vu en projection presse dans un club privé proche des Champs Elysées. Petite infidélité au sésame UGC très à propos, puisque l'adultère est l'un des thèmes de ce vaudeville scandinave rythmé par l'intervention récurrente de la version Ikea des Temptations. Comme tous les films septentrionaux, c'est très étrange, presque absurde, mais plaisant. On passe de la comédie au drame avec une facilité déconcertante.

One thought on “Péloches de juillet...”

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